Le 17 juin 2021, petite présentation sympa de mes livres sur un événement autour de la art-thérapie.
Une collection de livres pour tous âges, tous niveaux, et pour tous les goûts !
Le 17 juin 2021, petite présentation sympa de mes livres sur un événement autour de la art-thérapie.
Bien écrire : Voici quelques conseils pour se lancer, que j’ai glanés ci et là sur internet, et inspirés par de grands écrivains (je pense notamment à Bernard Werber).
Le style est au roman ce que la musique est au film. Il permet de faire vibrer les émotions. Un « truc » d’écrivain, c’est d’écouter des musiques de films qui permettent d’inspirer son écriture. Certains styles de musique inspirent des styles d’écriture. (hard rock, classique, etc…).
Au commencement, ne vous bloquez pas sous prétexte de vouloir trouver la phrase parfaite, le mot le plus juste. Éric-Emmanuel Schmitt vous conseillera de « laisser parler l’histoire et vivre la langue » afin d’être créatif. Vous relirez dans un second temps pour trouver le langage ou le vocabulaire parfait. Vous écrirez 80% de votre livre en 20% du temps. N’ayez pas peur de manquer de style, soyez juste pour servir votre histoire.
Ensuite, une phase de relecture stylistique approfondie vous permettra de corriger les erreurs de style.
A cette étape, gardez à l’esprit que le style est comme une sauce, qui cache le goût réel de l’aliment mais l’améliore aussi. Considérez que le style va agrémenter votre récit comme il agrémente un plat, à vous de voir si vous voulez le rendre piquant, assaisonné, doux, sucré-salé, etc…
« Vous devez toujours commencer votre histoire en sachant comment la finir »
Pour bien écrire une histoire captivante, soignez les premières lignes de votre livre. Elles ont une importance capitale. Elles doivent donner le ton, sans trop en dire non plus, afin de susciter l’envie d’aller plus loin.
Dès le début, vous déterminerez assez vite si les paragraphes seront longs ou courts, denses ou aérés, avec beaucoup de dialogues ou non.
Le début du livre va vous permettre d’organiser la suite. Il doit emmener le lecteur quelque part et être en résonance totale avec votre livre.
Ensuite, faites évoluer l’intrigue pour révéler progressivement des choses à vos lecteurs.
Bien écrire : Après avoir travaillé votre plan, demandez-vous si votre histoire est originale. A-t-elle déjà été traitée ? Sous quel angle ?
Si vous conservez un plan classique, votre histoire risque de manquer d’originalité. Quand vous avez votre plan, changez-le ! Tentez des choses nouvelles et amusez-vous. Comme un artisan, tâchez de proposer des choses différentes à vos lecteurs.
Afin de trouver des idées vraiment originales pour écrire une histoire, Bernard Werber vous conseillera de rechercher l’imagination dans votre inconscient.
Cette méthode d’exploration, largement éprouvée et approuvée par le célèbre écrivain, s’applique en utilisant la relaxation. Elle permet de « trouver un énorme plaisir à écrire et créer des mondes, tout seul. »
L’écrivain a mis en place des techniques pour aller plus vite à l’essentiel, pour créer des personnages plus prenants, pour développer l’imaginaire.
Il vous révèle ses techniques originales dans sa masterclass en vidéo.
« Parfois, ce qui permet d’écrire un livre est la nouveauté du point de vue ».
Vous pensez que votre histoire n’est pas originale, que tout a déjà été écrit sur le sujet…
S’il n’y a pas de nécessité à trouver un sujet original, trouver l’angle pour le raconter et notamment le point de vue est très important pour apporter de la nouveauté.
En tant qu’écrivain, vous avez plusieurs façons de raconter un même livre. Le secret se situe sur le point de vue que vous allez choisir. Qu’il connaisse tout de ses personnages, qu’il parle à la 3è personne ou fasse l’emploi du « je » narratif, le romancier a le pouvoir de donner un angle et un ton vraiment original sur une histoire.
« Un bon roman termine toujours par un « effet waouh » qui consiste à sortir un lapin du chapeau. » Bernard Werber.
Pour écrire une histoire captivante, il ne faut pas tout révéler tout de suite. Le secret, c’est de ne pas donner au lecteur ce qu’il a envie de savoir.
Il est essentiel de gérer le suspense et créer le rebondissement jusqu’à la fin de l’histoire. C’est donc dans la gestion de sa frustration qu’on va trouver le moyen de tenir le lecteur en haleine, pour son plus grand plaisir !
Vous pouvez proposer plusieurs fins afin de savoir laquelle fonctionne le mieux. Ne perdez pas de vue que votre histoire est vivante et mouvante, et qu’il faut un équilibre parfait pour aboutir au climax et à la chute.
Ne choisissez pas une fin trop prévisible. Il arrive que certains grands écrivains passent des années pour trouver une fin vraiment extraordinaire à leur roman.
Votre première relecture doit être personnelle, ne le faites pas lire aux autres avant de l’avoir entièrement relu vous-même. Idéalement, laissez passer quelques jours voire quelques semaines, puis relisez votre récit d’une traite pour vérifier la cohérence de l’histoire.
C’est le moment de modifier le plan, changer la structure, vérifier que la présence d’un personnage secondaire est bien utile, ou placer son intervention plus tôt ou plus tard dans le récit.
La deuxième relecture sera stylistique. Vous pourrez relever les répétitions, enrichir le vocabulaire, raccourcir ou allonger vos phrases. Ajouter du dialogue si vous voulez rythmer votre récit.
Enfin, votre dernière relecture doit être faite à voix haute. Il s’agit d’écouter votre texte pour trouver le rythme et la musicalité de votre récit. Ce sont les derniers ajustements, les dernières notes de votre symphonie de mots.
Enfin, l’heure est venue de dévoiler votre œuvre. Vous devez choisir un premier lecteur qui pourra vous donner des conseils sur la cohérence de l’histoire en toute bienveillance. Même à ce stade, vous pouvez décider de tout changer, revoir un évènement de l’histoire ou changer la fin. Ne tombez pas amoureux de votre première version !
Source :
Apparemment, un français sur trois rêve d’écrire un livre.
3% d’entre eux possèdent un manuscrit, mais ccelui ci reste au fond d’un tiroir…
Voici quelques conseils pour se lancer, que j’ai glanés ci et là sur internet, et inspirés par de grands écrivains (je pense notamment à Bernard Werber).
Comment se préparer à écrire un livre ?
Au-delà de l’envie de raconter une histoire, il faut écrire non pas pour dire ce que l’on pense mais pour le découvrir ! En écrivant, vous entrez dans l’univers de la nuance, du doute, et de la remise en question.
Ce qui compte, c’est le feu qui vous anime pour écrire. Pendant l’écriture, vous devez garder à l’esprit ce qui anime votre flamme, ce désir d’écrire, même s’il est opaque et mystérieux.
“Écrire donne un grand pouvoir, celui de transmettre des idées et ainsi pouvoir changer le monde dans lequel on vit.” Bernard Werber.
L’imagination commence avec le récit d’une histoire, comme à l’époque des conteurs d’histoire au coin du feu.
Dès la préhistoire, le groupe se constitue autour des histoires qui se racontent et qui construisent une communauté. La tribu qui a la bonne histoire aura toujours un avantage sur celle qui n’en a pas : l’avenir appartient aux raconteurs d’histoire. C’est la base même de toutes les cultures, toutes les civilisations.
Pour être un bon écrivain il ne faut pas juste avoir envie d’être un bon écrivain, il faut revenir à plus de simplicité, revenir à l’esprit primitif qui est simplement d’emporter les gens dans un monde imaginaire. Le sens du métier d’écrivain est aussi de permettre aux gens de se découvrir eux-mêmes en étant transporté par une histoire.
Pour libérer votre imagination, il est primordial de suspendre tout jugement. Votre processus créatif entrera en action en écoutant votre fantaisie, de ricochet en ricochet.
Pratiquez le lâcher prise pour laisser libre-court à votre imaginaire. Vous parviendrez à créer une histoire originale qui vous ressemble.
Pour savoir comment écrire un roman, vous devez certes avoir de l’imagination mais il faut savoir l’organiser.
En fonction du temps que vous pourrez y consacrer, et à moindre coût, vous pouvez choisir un atelier d’écriture en ligne, qui offre plus de souplesse tout en permettant d’acquérir des techniques d’écrivain et recevoir des conseils d’écriture. Il permet en effet de se connecter facilement depuis votre canapé pour se concentrer tranquillement dans son écriture.
Que vous cherchiez à améliorer votre technique, votre style, ou à travailler votre inspiration, l’un des critères clés sera le choix de votre maître d’écriture. Le mieux est de connaître son travail, ses romans, pour vous permettre de savoir ce qu’il pourra vous apporter.
Comment trouver le sujet de votre livre ? Ne cherchez pas trop loin. L’idée d’un sujet peut surgir à n’importe quel moment, au détour d’une conversation, d’une lecture, en écoutant des gens discuter…Mais avant tout, le sujet doit avoir mûri en vous depuis longtemps, comme une évidence, au point qu’il devienne constant dans votre esprit.
Si le sujet vous hante, vous saurez mieux vous l’approprier, en faire les contours, pour trouver comment l’aborder.
3 conseils pour trouver le sujet de votre livre :
Cependant, il n’est pas nécessaire d’avoir vécu les choses pour les écrire. La capacité à se projeter, à sentir les choses, l’empathie, sont des qualités essentielles pour parvenir à traiter un sujet.
“L’imagination permet d’explorer le monde.”
Pour savoir comment écrire un livre, il est important de comprendre que les personnages en sont la clé.
Pour construire une histoire qui va transporter vos lecteurs, il faut créer des personnages fascinants. Le lecteur va se prendre pour le héros. Parce que le héros va évoluer, le lecteur va évoluer et être happé par le roman.
« C’est le personnage qui fait avancer l’intrigue et non l’histoire qui fait évoluer les personnages » Bernard Werber.
Pour créer un personnage consistant, il faut :
Pour rendre votre personnage plus vivant, utilisez le dialogue. Vous apporterez des traits de caractère supplémentaires juste avec sa manière de s’exprimer, le ton employé, le vocabulaire, etc…
Vous pouvez créer des fiches personnages complètes : description physique, goûts, qualités et défauts, relations familiales et amicales, ambitions, pensées les plus intimes, etc…Cela vous permettra de piocher des informations dans votre personnage pour les livrer avec parcimonie tout au long de votre récit.
Découvrez un de mes livres basé sur seulement 2 personnages :
http://unehistoirepourmonenfant.fr/boutique/petit-garcon-feu/
Une fois que vous avez votre histoire, avec quelques évènements clés, et vos personnages, vous devez composer l’intrigue comme suit : situation initiale, élément perturbateur, péripéties (qui peuvent se renouveler), puis situation finale.
Structurer ainsi votre histoire va vous permettre de construire un plan à votre livre.
Préparez un plan comme une série de rendez-vous. Il doit être schématique, ayant pour vocation d’éviter les pannes d’inspiration. Si des personnages manquaient à votre plan, laissez-les guider votre histoire.
Bernard Werber révèle son arbre de vie dans ses masterclass : cette structure en 10 points vous permet de créer votre histoire sur le cheminement du personnage, de son initiation, au commencement de l’histoire, jusqu’au climax et au dénouement final.
Il est essentiel de gérer le suspense et créer le rebondissement jusqu’à la fin de l’histoire. Toute l’histoire, au travers des étapes précédentes, évolue pour que le climax soit le plus fort possible. Il faut avoir bien pensé votre climax avant de commencer à écrire votre histoire.
C’est donc dans la gestion de sa frustration qu’on va trouver le moyen de tenir le lecteur en haleine, pour son plus grand plaisir ! Pensez à utiliser le flashback ou le flashforward.
Source :
Lire c’est s’évader de son quotidien triste et monotone, c’est partir pour un monde inconnu et pouvoir se laisser porter par une histoire. La lecture est un vrai moyen de se sortir de sa vie pendant quelques heures et de découvrir, vivre des choses nouvelles à travers des personnages de fiction.
La lecture ne peut se dissocier de l’écriture, c’est impossible. Tout comme l’écriture ne peut se dissocier de la lecture, mais ça revient au même ! Lire permettra à votre âme d’écrivain de connaitre les clichés, les grandes lignes d’un genre, les actions qui rythment un roman, de comprendre ce qu’est une ambiance et un personnage bien construit… Bref, lire vous permettra d’apprendre à écrire tout simplement et vous permettra à vous qui avez déja commencé à écrire, de vous améliorer.
Elle nous libère, tout comme elle nous enchaîne. C’est une addiction que l’on prend plaisir à alimenter, car la lecture permet d’ouvrir notre esprit et de vivre une autre vie, de découvrir certaines choses que l’on ne connaissait pas et qui, après coup, nous paraissent formidables , C’est ça aussi la lecture, c’est apprendre pour mieux comprendre.
Notre esprit est semblable à une éponge, il enregistre toutes les informations qu’il trouve et qu’il voit, et un livre rempli de mot soigneusement écrit ne peut vous être que bénéfique pour votre propre orthographe. Essayer, vous allez voir, c’est miraculeux.
Lire est un bonheur, il procure un plaisir intense, celui de pouvoir vivre des aventures avec des personnages fictifs, de découvrir une histoire originale et de tenter de la comprendre tout en se croyant à l’intérieur de celle-ci.
C’est prouvé, la lecture est source de détente, qui n’a pas déjà piqué du nez en lisant un bouquin après une journée harassante. Mais au-delà du risque de s’endormir c’est un vrai moment où votre corps pourra se reposer.
Culture ? Vous connaissez ? C’est bon ça vous reviens… Eh bien la lecture vous permettra d’étendre votre base de connaissances et de connaitre si ce n’est pas déjà le cas, les grands classiques de la littérature ( une base tout de même…), vous en ressortirez grandi et surtout moins bête.
Allez-y, achetez des livres, lisez, le jour, la nuit, le matin, à minuit ou à midi… Bref, lisez, lisez et lisez encore, ce n’est pas interdit.
source :
Je suis à un tournant de ma vie où je me dis qu’il va falloir aller au charbon et : mettre en page; illustrer, publier, communiquer pour vendre… Vendre !
Je vais donc ralentir un peu mon rythme d’écriture et m’y consacrer. J’avoue que c’est le printemps et je suis de toute façon moins efficace à l’écriture. J’aime trop cette saison pour la regarder se dérouler par la fenêtre, sans en profiter.
Je persiste et signe. Je signe des deux mains même !
Ouverture de mon compte Facebook.
Après le compte Instagram :
Il va falloir que je me discipline car apparemment, les réseaux sociaux demandent un rythme de publication plutôt soutenu si l’on souhaite que cela serve à quelque chose (à savoir : se faire connaître pour… vendre des livres ! Ben oui, c’est terre à terre de parler de ventes et donc d’argent, mais les artistes ont deux possibilités dans la vie : vivre de leur passion, ou vivre d’un autre travail. J’aimerais bien avoir la première possibilité)
Voici ma page Facebook :
https://www.facebook.com/Une-histoire-pour-mon-enfant-102286418556847
Mon compte perso Facebook :
https://www.facebook.com/emeline.montoural
Je suis à un tournant de ma vie où je me dis qu’il va falloir aller au charbon et : mettre en page; illustrer, publier, communiquer pour vendre… Vendre !
Je vais donc ralentir un peu mon rythme d’écriture et m’y consacrer. J’avoue que c’est le printemps et je suis de toute façon moins efficace à l’écriture. J’aime trop cette saison pour la regarder se dérouler par la fenêtre, sans en profiter.
Ouverture de mon compte Instagram.
Il va falloir que je me discipline car apparemment, les réseaux sociaux demandent un rythme de publication plutôt soutenu si l’on souhaite que cela serve à quelque chose (à savoir : se faire connaître pour… vendre des livres ! Ben oui, c’est terre à terre de parler de ventes et donc d’argent, mais les artistes ont deux possibilités dans la vie : vivre de leur passion, ou vivre d’un autre travail. J’aimerais bien avoir la première possibilité)
Et voici :
https://www.instagram.com/une_histoire_pour_mon_enfant/
Ca y est, je me suis décidée : je vais ralentir un peu mon rythme d’écriture (en plus ce n’est pas une saison où je suis très productive : j’ai plutot envie de sortir !). En plus, j’ai écrit une histoire drôle que j’aime beaucoup…
Je suis à un tournant de ma vie où je me dis qu’il va falloir aller au charbon et : mettre en page; illustrer, publier, communiquer pour vendre… Vendre !
Donc ma première résolution est de :
me décider à mettre à la vente mon dernier livre, le préféré de mon fils :
Vae Victis, le bouclier de Brennus
Une histoire drôle, une nouvelle historique, basée sur l’Histoire, mais comme toujours, que j’ai voulu romancer.
C’est toujours un moment d’hésitation pour moi car je sais que mes publications ont des imperfections, chose que j’ai du mal à gérer.
Mais je vais devoir passer outre, car c’est sans fin.
Un peu de courage, que diable !
Et voici :
Après ? Je vous tiens au courant, mais j’ai décidé de me mettre aux réseaux sociaux. De communiquer. Peut-être suivre une formation en communication ? Voir si je ne proposerais pas mes livres sur d’autres réseaux de distribution (oui ben AMAZON, on a tous pensé pareil, hein) ?
J’ai un stage d’immersion prévu pour l’automne prochain : 10 semaines d’écriture en immersion. Je me questionne beaucoup, car j’ai une vie de famille que je souhaite privilégier (et en même temps, je n’ai pas le choix : dans quelle mesure pourrais-je dire à mes enfants : bon je fais une pause de 10 semaines, gérez-vous un peu, bisous !), est-ce que ce stage est compatible ?
Beaucoup de questionnements…
J’ai rencontré une illustratrice aussi..
Cela pourrait être sympa. Pour l’instant, c’est moi qui m’occupe de l’illustration, mais ce sont mes enfants qui font les dessins.
Lectrice depuis toute petite, j’écris depuis l’école primaire, je n’ai jamais cessé d’écrire, de mon journal intime à mes rédactions ! Aussi ai-je décidé d’ouvrir ce blog en 2018 pour partager ma passion pour l’écriture de livres pour enfants avec des personnes tout aussi passionnées que moi.
J’aime faire découvrir l’histoire de France à mes enfants en la romançant. J’aime les anecdotes de notre Histoire. J’aime endormir les enfants en les entourant de magie. Par-dessus tout, j’aime les entendre rire. Pour eux, j’aime me dépasser. Avec eux, j’aime utiliser un vocabulaire soigné, mais que j’espère accessible. J’aime les belles liaisons de notre langue. J’aime utiliser le passé simple et les temps que l’on n’entend plus !
Mes enfants illustrent mes livres, je supervise évidemment. Je suis heureuse de partager cela avec vous.
J’aimerais pouvoir vivre de mon art, (le rêve des artistes, n’est-ce pas ?). J’aimerais échanger avec les lecteurs, les miens et les autres. Je voudrais que ma vie de maman se ressente dans mes livres, qu’elle puisse apporter à d’autres familles un lien unique : celui de la lecture.
J’apporte une attention toute particulière aux enfants qui ont des difficultés de lecture, et certaines de mes collections s’adressent à eux.
N’hésitez pas à me rejoindre sur mon Facebook, mon Instagram, ou sur ma chaine Youtube, où je travaille assidument à vous préparer des surprises, déjà testées sur mes propres enfants (mais travailler les vidéos est presque plus long et difficile pour moi que travailler sur l’écriture !)
J’espère que vous vous sentirez bien avec moi (et avec ma petite tribu). Vous serez en tous cas toujours accueillis avec mon sourire ! (^_^)
Cette spécificité humaine d’apprendre à parler n’a pas fini de nous intéresser tant elle est étonnante !
A la naissance, le petit humain est « précâblé » pour parler. Le cerveau immature d’un prématuré, né 3 mois avant le terme, est déjà capable de distinguer la voix d’un homme de celle d’une femme, et peut différencier des phonèmes aussi proches que « ba » et « ga ». Le bébé reconnaît les sons et les syllabes bien avant de les produire. Entre 6 et 12 mois, un phénomène très important survient : l’enfant perd la capacité de parler toutes les langues du monde pour ne rester sensible qu’à sa langue maternelle. Petit à petit, les connexions s’organisent entre les aires auditives et celles du langage. Le nourrisson parvient à dissocier les mots de la parole continue, et essaie de reproduire à son tour les sons mémorisés.
(Source : caminteresse.fr)
Pour communiquer !
Normalement, lorsque vous vous adressez à votre bébé, votre tout-petit, vous êtes factuels, vous ne faites pas de phrases longues, vous êtes concis : « Ranger les chaussures. Voilà, c’est ça ! ». C’est effectivement la différence entre le langage et la lecture.
Bébé apprendra à parler si vous lui parlez. Il répètera. En outre, cela peut paraître évident, et pourtant ! Plus vous « discuterez » avec lui, plus il aura envie de vous répondre. Alors, laissez-vous aller à de doux bavardages. Accentuez les mots que vous voulez que bébé apprenne rapidement. Parlez doucement, articulez. Employez le bon mot. Un chat passe, votre bébé s’agite et dit « miaou miaou ». Évitez alors de répéter ces onomatopées. Félicitez-le en employant le bon mot. Si vous vous contentez de « parler bébé », il mettra plus de temps à les acquérir. Utilisez des synonymes.
En vrai petit bavard, votre bébé se lance dans un récit dont vous ne comprenez que quelques bribes. Peu importe ! Regardez-le donc et répétez ce qu’il dit de manière intelligible : « Tu dis au revoir à Papa, c’est cela ? » « Tu veux aller à la crèche voir les autres bébés ? ». Parlez-lui de sa vie, des moments qui le concernent.
Les chansons sont aussi de véritables trésors pour bébé. Elles participent à un moment de tendresse et d’échange entre vous, et lui permettent de se familiariser avec les sons, les syllabes et les mots eux-mêmes. Les rimes feront prendre conscience à l’enfant des phonèmes qui existent.
Lorsque vous lisez, la poésie est au rendez-vous. La plupart du temps, vous constaterez que lire est un pur moment de bonheur pour bébé.
En effet, les interactions entre l’adulte et l’enfant sont merveilleuses pour lui. Bébé associe alors les mots aux images, il entend de nouveaux mots que vous n’utilisez pas dans la vie quotidienne. Le langage s’étoffe et se structure ainsi.
C’est ainsi qu’un tout-petit apprend à parler, dans le plaisir et l’échange quotidien avec ses parents, et les notions qu’il intègre – la structure d’une phrase, la représentation des mots… – quand on lui lit des livres le préparent doucement à l’apprentissage de la lecture et de l’écrit.
Dès leur première année, les petits bébés sont attirés par les livres. Ils les saisissent, ils les mettent à la bouche, les tournent et en tournent parfois les pages, puis les jettent !
Ils prendront peut-être votre livre et en déchireront quelques pages, tandis que si vous êtes plutôt sur vos écrans, c’est de votre téléphone qu’ils se saisiront… Demandons-nous donc ce que nous montrons à l’enfant et de quoi il dispose.
Dès que Papa ou Maman s’intéresse à quelque chose, alors cette chose devient passionnante. Si Papa et Maman ont un livre entre les mains, alors le livre prend pour eux une autre dimension.
Bébé grandit et l’adulte lui lit des histoires, c’est un moment intense, le plaisir est partagé, la complicité est là.
Les albums d’images et enfin… les livres d’histoires.
L’enfant ne comprend pas toujours le sens du texte, mais peu importe ! Il en perçoit sa petite musique. Il vous interrompra peut-être, mais pas forcément… Vos paroles sont rythmées, votre intonation est captivante.
Vous changez même votre voix pour amuser votre enfant, forte, douce, grondante, quels rebondissements dans votre voix ! Votre voix n’est pas celle qui est fatiguée, lasse, parfois agacée, non c’est une vois animée d’un tempo et d’émotions.
Prenons garde à ce que nous lisons à nos enfants ! Pourquoi ne pas profiter des lectures pour inculquer à la fois du vocabulaire, de l’histoire, de la culture, de la morale ? Dès le plus jeune âge, nous pouvons exploiter chaque minute pour proposer à l’enfant des outils qui le structureront. La lecture en fait partie. Le contenu de ce que l’on lit également.
Une collection de livres pour tous âges, tous niveaux, et pour tous les goûts ! Ignorer